
Vue des installations portuaires depuis le sud, avec un bateau à quai.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Plan général du port au début du 20e siècle. Dessin, par Jacques Barthou.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Détail du plan du port de Blaye, 1930.
Université Bordeaux Montaigne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'usine de produits pétroliers Humarau et les appontements. Carte postale, A. Baron éditeur, début du 20e siècle.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan général du terminal portuaire. Infographie Pierre Lepec (extrait de la fiche terminal de Blaye sur le site internet du Port de Bordeaux).
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue d'ensemble depuis l'estuaire.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Vue des installations portuaires depuis le sud, avec un bateau à quai.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue des entrepôts et du site portuaire depuis la digue au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue d'ensemble depuis la digue au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Entrepôts et secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Silos et secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue des entrepôts portuaires depuis le sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Titre : Port sur la Gironde
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Période : 19e siècle, 20e siècle
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Localisation : Gironde , Blaye , Cours Bacalan
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Estuaire de la Gironde (rive droite)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2013
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Auteur du dossier : Beschi Alain
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Historique
L'augmentation des gabarits de bateau, de leur tirant d'eau et l'insuffisance du chenal, concourent à la translation du port sur le rivage estuarien entre les années 1830 et le début du 20e siècle, pour l'accostage de navires de passagers et de bâtiments de marchandises. Si le port connaît une augmentation significative du trafic à la fin du 19e siècle, avec l'implantation d'usines le long de l'estuaire et la création d'un appontement particulier pour la raffinerie Desmarais en 1887, c'est la première Guerre mondiale qui marque véritablement l'entrée du port de Blaye dans l'âge industriel : deux appontements publics de grande navigation, destinés au transbordement des navires charbonniers provenant d'Angleterre pour l'approvisionnement énergétique de l'Italie, sont en effet créés en 1915. Les remblais nécessaires à l'aménagement des terre-pleins du nouveau port sont récupérés d'un banc de sable et de gravier situé face à Blaye, et par dragage devant Beychevelle. Une digue de 550 mètres de long est réalisée à la même époque par enrochements, travaux exécutés avec le concours de prisonniers allemands. Les équipements de levage du port comprennent alors deux grues à vapeur et six grues électrifiées. Les cartes postales de cette époque montrent le port selon ces dispositions et en pleine activité, équipé de grues sur chemin de fer. Le tonnage global du port est alors en pleine croissance : aux produits traditionnels et aux hydrocarbures pour alimenter la raffinerie Desmarais et l'usine Humarau, ce sont 260 000 tonnes de charbon qui sont déchargés pour être transbordées sur des trains en 1917, et plus de 400 000 tonnes l'année suivante. Un appontement en béton armé et un quai vertical sont aussi créés dans les années 1920 plus au nord, au droit des Cônes, en lien avec l'exploitation d'une carrière de pierre utilisée pour le confortement du rivage de la Pointe de Grave au Verdon-sur-Mer.
Blaye est considéré comme avant-port de celui de Bordeaux à partir de 1925. Durant le second conflit mondial, une partie des installations industrielles et portuaires sont endommagés par les bombardements d'août 1940 et 1944, ainsi lors du départ des troupes allemandes. Rapidement remis en service, le port atteint un trafic de 200 000 tonnes en 1947.
Le port de Blaye constitue l'un des terminaux du Port autonome de Bordeaux, structure qui assure les aménagements. Pour répondre aux besoins liés à l'augmentation du trafic céréalier, un silo vertical en béton est construit par la société Semabla en 1972, agrandi en 1974. En 1976-1977, le déchargement de colis lourds pour la construction de la centrale nucléaire du Blayais, nécessite le remplacement des appontements de bois par des plateformes en béton, comprenant trois postes d'accostage sur un bassin de 300 mètres de long, permettant l'amarrage de navires de 7,5 à 8 mètres de tirant d'eau. Le port de Blaye est en forte progression dans les années 1980, liée notamment au chargement des céréales et aux produits chimiques : le tonnage total du fret portuaire double dans la décennie, passant de 200 000 à 400 000 tonnes en 1990. Les postes à quai sont modernisés en 1993. A la suite de l'explosion dramatique du silo en 1997, un nouvel équipement est construit avant 2000 selon une réglementation actualisée en matière de sécurité.
Avec un trafic de près de 300 000 tonnes de marchandises par an, le site de Blaye est aujourd'hui dédié à la réception de vrac liquides, mais aussi aux exportations céréalières.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 19e siècle, 20e siècle |
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Description
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA33004543 |
Dossier réalisé par |
Beschi Alain
Chercheur et conservateur du patrimoine au sein du service du patrimoine et de l'Inventaire en Aquitaine, puis Nouvelle-Aquitaine (1994-2023). |
Cadre d'étude |
|
Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive droite) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2013 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde |
Partenaires |
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Citer ce contenu |
Port sur la Gironde, Dossier réalisé par Beschi Alain, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/be4b8a2a-f763-4c6f-ac9e-f523c69aa45f |
Titre courant |
Port sur la Gironde |
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Dénomination |
port |
Statut |
|
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Documents d'archives
1ère section - Service général / Affaires et travaux intéressant divers services / 1926-1947.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : Fonds du Port autonome de Bordeaux. 2002/086_20
ISBD/Commentaire :
1ère section - Service général / Affaires et travaux intéressant divers services / 1926-1947.
Documents figurés
Plan du Port autonome de Bordeaux et de ses différents sites, 1930
ISBD/Commentaire :
Plan du Port autonome de Bordeaux et de ses différents sites. Paris : Les Procédés Dorel, 1930.
[Document en ligne sur le site 1886 - Collections patrimoniales numérisées de Bordeaux Montaigne : http://1886.u-bordeaux-montaigne.fr/items/show/71812]
Périodiques
BARTHOU Jacques. "Un avant-port de Bordeaux avant l'autonomie : Blaye 1875-1925". Actes du Congrès d'études régionales de la Fédération historique du Sud-Ouest tenu à Bordeaux, les 25-26 et 27 avril 1997 : Bordeaux et l'Aquitaine. Fédération historique du Sud-Ouest, 1998.
Mention : P. 457-474.
ISBD/Commentaire :
BARTHOU Jacques. "Un avant-port de Bordeaux avant l'autonomie : Blaye 1875-1925". Actes du Congrès d'études régionales de la Fédération historique du Sud-Ouest tenu à Bordeaux, les 25-26 et 27 avril 1997 : Bordeaux et l'Aquitaine. Fédération historique du Sud-Ouest, 1998.
CARRERE Serge. "Un port en pleine activité". L'Estuarien, n°36, 2011.
Mention : P. 9.
ISBD/Commentaire :
CARRERE Serge. "Un port en pleine activité". L'Estuarien, n°36, 2011.
CHAMBARAUD Jean-Bernard. "De la fabrique des frères Humareau à la Screg". L'Estuarien, n°36, 2011.
Mention : P. 7.
ISBD/Commentaire :
CHAMBARAUD Jean-Bernard. "De la fabrique des frères Humareau à la Screg". L'Estuarien, n°36, 2011.
FERAL Alain, RAYMOND Bernard. "Le port de Blaye". L'estuaire de la Gironde : actes des 1er et 2ème Colloques. Bordeaux : Éditions Confluences, 1993 (Les Cahiers, Conservatoire de l'estuaire).
Mention : P. 173-187.
ISBD/Commentaire :
FERAL Alain, RAYMOND Bernard. "Le port de Blaye". L'estuaire de la Gironde : actes des 1er et 2ème Colloques. Bordeaux : Éditions Confluences, 1993 (Les Cahiers, Conservatoire de l'estuaire).
VIGNAU Michel. "Cinq siècles d'aménagement portuaire". L'Estuarien, n°36, 2011.
Mention : P. 4-5.
ISBD/Commentaire :
VIGNAU Michel. "Cinq siècles d'aménagement portuaire". L'Estuarien, n°36, 2011.
Bibliographie
BIROLLEAU-BRISSAC Paulette. Histoire de Blaye. Bordeaux: Ed. de la Société des Amis du Vieux Blaye, 1968.
Mention : P. 235-236, 262, 286, 289-290.
ISBD/Commentaire :
BIROLLEAU-BRISSAC Paulette. Histoire de Blaye. Bordeaux : Ed. de la Société des Amis du Vieux Blaye, 1968.
CHAMBRE DE COMMERCE DE BORDEAUX. Le port de Bordeaux. Bordeaux: Imprimerie Delmas, 1921.
Mention : P. 55.
ISBD/Commentaire :
CHAMBRE DE COMMERCE DE BORDEAUX. Le port de Bordeaux. Bordeaux : Imprimerie Delmas, 1921.
CHEVET Robert. Le port de Bordeaux au XXe siècle. Bordeaux : L'Horizon chimérique, 1996.
Mention : P. 134-135.
ISBD/Commentaire :
CHEVET Robert. Le port de Bordeaux au XXe siècle. Bordeaux : L'Horizon chimérique, 1996.
COTTON DE BENNETOT Arlette. Petit dictionnaire des rues de Blaye. Bordeaux: Imprimerie Biscaye, 1983.
Mention : P. 88-90.
ISBD/Commentaire :
COTTON DE BENNETOT Arlette. Petit dictionnaire des rues de Blaye. Bordeaux : Imprimerie Biscaye, 1983.
Multimédia
Blaye en un siècle. CD-ROM, Société des amis du vieux Blaye ; Association philatélique de l'arrondissement de Blaye, 2003.
ISBD/Commentaire :
Blaye en un siècle. CD-ROM, Société des amis du vieux Blaye ; Association philatélique de l'arrondissement de Blaye, 2003.
Annexes
Historique de l'usine Humarau, extrait du CD-R Blaye en un siècle
L'usine Humarau, futur SCREG, par J-B.Chambaraud
L'Agent Général de la British Crésote Compagnie :
Jean Ferdinand Humarau, est né à Pau en 1869, après avoir passé quelques années en Angleterre pour se familiariser avec une langue qui est déjà celle des affaires; il est de retour en Gironde et devient en 1898 l'Agent Général de la British Crésote Compagnie. Il commercialise la crésote, qui est largement employée pour l'imprégnation des traverses de chemin de fer. Il est aussi devenu un familier de certains produits chimiques, comme les dérivés du goudron et les hydrocarbures, dont la diffusion est en plein essor.
La maison Humarau frères
En 1906, il s'associe avec son frère Louis Humarau pour construire dans la propriété familiale à Caudéran, dans la proche banlieue de Bordeaux, une fabrique de carton bitumé et un dépôt d'hydrocarbures et de benzol, qui sont conditionnés en bidon de cinq litres et utilisés entre autre par les premières automobiles.
J.F. HUMARAU & Cie
Dés 1908 la maison de commerce devient «J.F. HUMARAU & Compagnie», dont le siége est à Bordeaux. C'est cette année là qu'ils décident de devenir producteurs et achètent un vaste terrain en bordure de l'Estuaire de la Gironde à Blaye. En 1910 débutent les travaux avec la construction de trois unités de distillation de goudron et des ateliers pour la production de la naphtaline, de phénols bruts, de cartons bitumés et d'alcool benzylique. L'activité industrielle débute à Blaye en 1911, c'est aussi l'année où leur frère Jean-Jules les rejoint comme associé.
En 1914, quand éclate la guerre, l'Allemagne est le principal fournisseur d'acide phénique, produit essentiel pour la production des explosifs, tels que la Mélinite, qui représenta plus du quart du tonnage d'explosif produit en France à cette époque. A la demande du Service des Poudres, la compagnie participe donc à la relève des fournisseurs allemands. La construction d'un atelier d'acide phénique est lancée, car c'est un dérivé de la chimie du goudron. C'est en mars 1915 qu'est produite de manière industrielle la première tonne d'acide phénique à Blaye, grâce à James Tagg, un chimiste écossais. Il assurera la direction technique de l'usine de Blaye, puis sera administrateur de la Société. La production va se poursuivre tout au long de la guerre, au rythme d'une tonne par jour.
La Société Chimique de la Gironde
En mai 1917, la compagnie change de dénomination et devient «la Société Chimique de la Gironde», qui consacre la nouvelle dimension industrielle de l'entreprise, familièrement dénommée par les Blayais «la Chimie», mais aussi «la Gironde».
Sa filiale, l'usine d'aggloméré de «La Société de Combustible de Blaye», est construite en 1916, pour fabriquer des briquettes et des boulets à partir de charbon anglais importé. Le liant pour fabriquer ces agglomérés, les brais, étant bien sûr fourni par la maison mère... C'est donc une manière de valoriser un sous-produit de la distillation du goudron.
Une autre filiale est créée, «la Société Girondine d'Acconage et de Transit», qui est chargée des activités de manutention, de chargement et de déchargement des navires, ce qui favorise le développement du port de Blaye.
Dés 1924, la société s'intéresse aux revêtements routiers. Elle possède maintenant trois distilleries, situées à Blaye, à Toulouse et à Ecouflant, près d'Angers. Depuis plusieurs années, «la Société Chimique de la Gironde» fabriquait des liants routiers, mais face aux besoins, dés 1925, les trois sites proposent aux services des Ponts et Chaussées des goudrons routiers, notamment «le Compotar» un mélange goudron - bitume. Les sites industriels deviennent alors des bases pour la réalisation des travaux routiers : c'est le démarrage d'une activité qui deviendra bientôt la première activité de la société.
La Société Chimique et Routière de la Gironde, la SCRG :
Suite au décès de J. F. Humarau en 1935, son frère Jean - Jules lui succède à la tête de l'entreprise, jusqu'en 1943.En novembre 1936, «la Gironde» devient «la Société Chimique et Routière de la Gironde», la SCRG, et elle transporte son siége social à Bordeaux, 8 rue du Château Trompette.
Sous l'impulsion d'André Subervie, le directeur technique, il naît au sein de la SCRG l'idée d'un enrobé routier à froid, le «Campomac», un liant asphaltique, qui est mis au point dans le laboratoire de l'usine de Blaye. Ce procédé fait l'objet d'un dépôt de brevet en 1939. Jusqu'à la fin des années 1950, l'exploitation du brevet et de la marque «Campomac» procure à la société de confortables royalties. En 1955, la marque «Campomac» est connue du monde entier.
C'est après la deuxième guerre mondiale qu'elle prend une extension nationale, et transfert son siége à Paris, au 66 rue de la Boétie. La SCRG assure de grands chantiers, tels que la modernisation des aérodromes et le boulevard périphérique de Paris.
De 1948 à 1957, l'équipement des bases aériennes de l'OTAN constitue une activité importante pour la Société, il s'y ajoute de 1953 à 1957 d'importants travaux de revêtements routiers dans les camps de l'armée américaine.
La SCRG s'intéresse aussi à l'étanchéité : ses produits lancés en 1948 font preuve de qualités exceptionnelles pour l'imperméabilisation.
En 1960, elle s'oriente vers les liants routiers spéciaux, produits pour lesquels son avance technique lui assure des revenus substantiels.
La Société Chimique Routière et d'Entreprise Générale, la SCREG
La SCRG ayant créé deux divisions distinctes : «chimie route» et «entreprise générale», cette évolution s'est traduite en 1964, par une nouvelle dénomination la Société Chimique Routière et d'Entreprise Générale, la SCREG.
En 1986, le leader français du BTP, le groupe Bouygues reprend le n°1 français des travaux routiers, le groupe SCREG.
La SCREG est restée fidèle au site originel de la compagnie Humarau à Blaye: elle y est toujours présente au travers d'un important dépôt.
Galerie d'images 19

Vue des installations portuaires depuis le sud, avec un bateau à quai.
Auteur de l'illustration : Barroche Adrienne
L'usine de produits pétroliers Humarau et les appontements. Carte postale, A. Baron éditeur, début du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Beschi Alain
Plan général du terminal portuaire. Infographie Pierre Lepec (extrait de la fiche terminal de Blaye sur le site internet du Port de Bordeaux).

Vue des installations portuaires depuis le sud, avec un bateau à quai.
Auteur de l'illustration : Barroche Adrienne
Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Auteur de l'illustration : Beschi Alain
Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Auteur de l'illustration : Beschi Alain
Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Auteur de l'illustration : Beschi Alain
Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.
Auteur de l'illustration : Beschi Alain
Vue des entrepôts et du site portuaire depuis la digue au sud-est.
Auteur de l'illustration : Barroche Adrienne
Entrepôts et secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.
Auteur de l'illustration : Barroche AdrienneLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Gironde , Blaye , Cours Bacalan
Milieu d'implantation: en ville
Lieu-dit/quartier: Bacalan
Cadastre: 2016 AL
Plan général du port au début du 20e siècle. Dessin, par Jacques Barthou.

(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail du plan du port de Blaye, 1930.

Université Bordeaux Montaigne
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L'usine de produits pétroliers Humarau et les appontements. Carte postale, A. Baron éditeur, début du 20e siècle.

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Plan général du terminal portuaire. Infographie Pierre Lepec (extrait de la fiche terminal de Blaye sur le site internet du Port de Bordeaux).

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Vue d'ensemble depuis l'estuaire.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue des installations portuaires depuis le sud, avec un bateau à quai.

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Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.

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Vu du site portuaire depuis les hauteurs du quartier de Bacalan.

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Vue des entrepôts et du site portuaire depuis la digue au sud-est.

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Vue d'ensemble depuis la digue au sud-est.

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Entrepôts et secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.

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Silos et secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.

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Secteur d'accostage, depuis la digue au sud-est.

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Vue des entrepôts portuaires depuis le sud-est.

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Vue des entrepôts portuaires depuis le nord-est.

Beschi Alain
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Ancienne voie ferrée de desserte du port sur les allées Marines.

Beschi Alain
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Vue des installations portuaires depuis le sud, avec un bateau à quai.

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